Les redifs de l’été… c’est toujours mieux que le gendarme!

Ne touchez pas l’épaule
Du cavalier qui passe
Il se retournerait
Et ce serait la nuit,
Une nuit sans étoiles
Sans courbe ni nuages.
-Alors que deviendrait
Tout ce qui fait le ciel
La lune et son passage
Et le bruit du soleil?
-Il vous faudrait attendre
Qu’un second cavalier
Aussi puissant que l’autre
Consentît à passer.

L’allée, de Jules Supervielle, extrait du recueil « le forçat innocent ».

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